Abidjan, 4 avr 2017 (AFP)
La croissance en Afrique subsaharienne a atteint 1,6% en 2016, « son plus bas niveau depuis six ans », s’est alarmé mardi à Abidjan, le vice-président ivoirien, Daniel Kablan Duncan, déplorant « un essoufflement des économies du continent.
« Frappée de plein fouet par la chute du prix des matières premières et la baisse de 40% de la demande chinoise, les économies africaines s’essoufflent », a déclaré M. Duncan à l’ouverture d’une rencontre internationale sur la « construction d’un avenir soutenable en Afrique ».
« La croissance économique a atteint son plus bas niveau depuis six ans en Afrique subsaharienne. Celle-ci est passée d’environ 5% en 2011 à 3% en 2015, puis à 1,6% en 2016 ».
L’ex-Premier ministre ivoirien s’est exprimé en marge de la 14e conférence annuelle de l’Association des fonds d’investissement et sociétés de capital risque (AVCA) opérant sur le continent africain organisée à Abidjan.
Selon lui, pour « la première fois depuis une dizaine d’années, l’Afrique est confrontée à une combinaison de défis conjoncturels majeurs qui impactent négativement sa croissance économique ». Il a cité « la chute des prix de nombreuses matières premières, le ralentissement de la croissance économique chinoise, la baisse des investissements directs étrangers (IDE) et les effets du changement climatique ».
Les participants à la rencontre ont de leur côté relevé « le rôle éminent » des fonds d’investissements pour permettre au « secteur privé africain de prendre toute sa place dans les investissements productifs » du continent.
La rencontre qui a regroupé des institutions financières internationales, comme la Banque européenne d’investissements (BEI), la BAD (Banque africaine de développement) et la BOAD (Banque ouest-africaine de ddéveloppement) doit s’achever mercredi.
« Frappée de plein fouet par la chute du prix des matières premières et la baisse de 40% de la demande chinoise, les économies africaines s’essoufflent », a déclaré M. Duncan à l’ouverture d’une rencontre internationale sur la « construction d’un avenir soutenable en Afrique ».
« La croissance économique a atteint son plus bas niveau depuis six ans en Afrique subsaharienne. Celle-ci est passée d’environ 5% en 2011 à 3% en 2015, puis à 1,6% en 2016 ».
L’ex-Premier ministre ivoirien s’est exprimé en marge de la 14e conférence annuelle de l’Association des fonds d’investissement et sociétés de capital risque (AVCA) opérant sur le continent africain organisée à Abidjan.
Selon lui, pour « la première fois depuis une dizaine d’années, l’Afrique est confrontée à une combinaison de défis conjoncturels majeurs qui impactent négativement sa croissance économique ». Il a cité « la chute des prix de nombreuses matières premières, le ralentissement de la croissance économique chinoise, la baisse des investissements directs étrangers (IDE) et les effets du changement climatique ».
Les participants à la rencontre ont de leur côté relevé « le rôle éminent » des fonds d’investissements pour permettre au « secteur privé africain de prendre toute sa place dans les investissements productifs » du continent.
La rencontre qui a regroupé des institutions financières internationales, comme la Banque européenne d’investissements (BEI), la BAD (Banque africaine de développement) et la BOAD (Banque ouest-africaine de ddéveloppement) doit s’achever mercredi.