Londres, 21 nov 2017 (AFP)
La démission du président zimbabwéen Robert Mugabe après 37 ans de pouvoir offre à son pays l’opportunité de connaître un avenir sans oppression, a déclaré mardi la Première ministre britannique, Theresa May.
« La démission de Robert Mugabe offre au Zimbabwe l’opportunité de se forger une nouvelle voie libre de l’oppression qui a caractérisé son pouvoir », a estimé Mme May dans un communiqué, à propos de cette ancienne colonie britannique.
« Au cours des derniers jours, nous avons vu le désir du peuple zimbabwéen d’avoir des élections libres et équitables ainsi que l’opportunité de reconstruire l’économie du pays avec un gouvernement légitime », a-t-elle poursuivi.
« En tant que plus vieil ami du Zimbabwe, nous ferons tout ce qui est possible pour apporter notre soutien, en travaillant avec nos partenaires internationaux et régionaux pour aider le pays à atteindre l’avenir meilleur qu’il mérite », a-t-elle conclu.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, 93 ans, a remis mardi sa démission après 37 ans de pouvoir, durant lequel il a dirigé son pays d’une main de fer depuis son indépendance en 1980.
Cette annonce, faite alors que les députés et sénateurs étaient réunis en congrès extraordinaire pour débattre de sa destitution, a été immédiatement saluée par un concert assourdissant d’avertisseurs dans la capitale Harare.
Le 15 novembre, Londres avait mis en garde contre « une transition qui verrait un tyran non élu remplacé par un autre ».
« Je ne vais pas prétendre regretter la chute de Mugabe », a dit mardi soir le chef de la diplomatie britannique, Boris Johnson, estimant que celle-ci pouvait constituer « un tournant, un moment d’espoir » pour le Zimbabwe.
« La priorité immédiate est de permettre que le Zimbabwe se dote d’un gouvernement légitime, issu d’élections libres et équitables, conformément à la constitution », a-t-il ajouté dans un communiqué. « C’est ce que le Royaume-Uni souhaite voir », a-t-il précisé, assurant le pays du soutien de Londres pour atteindre cet objectif.
« La démission de Robert Mugabe offre au Zimbabwe l’opportunité de se forger une nouvelle voie libre de l’oppression qui a caractérisé son pouvoir », a estimé Mme May dans un communiqué, à propos de cette ancienne colonie britannique.
« Au cours des derniers jours, nous avons vu le désir du peuple zimbabwéen d’avoir des élections libres et équitables ainsi que l’opportunité de reconstruire l’économie du pays avec un gouvernement légitime », a-t-elle poursuivi.
« En tant que plus vieil ami du Zimbabwe, nous ferons tout ce qui est possible pour apporter notre soutien, en travaillant avec nos partenaires internationaux et régionaux pour aider le pays à atteindre l’avenir meilleur qu’il mérite », a-t-elle conclu.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, 93 ans, a remis mardi sa démission après 37 ans de pouvoir, durant lequel il a dirigé son pays d’une main de fer depuis son indépendance en 1980.
Cette annonce, faite alors que les députés et sénateurs étaient réunis en congrès extraordinaire pour débattre de sa destitution, a été immédiatement saluée par un concert assourdissant d’avertisseurs dans la capitale Harare.
Le 15 novembre, Londres avait mis en garde contre « une transition qui verrait un tyran non élu remplacé par un autre ».
« Je ne vais pas prétendre regretter la chute de Mugabe », a dit mardi soir le chef de la diplomatie britannique, Boris Johnson, estimant que celle-ci pouvait constituer « un tournant, un moment d’espoir » pour le Zimbabwe.
« La priorité immédiate est de permettre que le Zimbabwe se dote d’un gouvernement légitime, issu d’élections libres et équitables, conformément à la constitution », a-t-il ajouté dans un communiqué. « C’est ce que le Royaume-Uni souhaite voir », a-t-il précisé, assurant le pays du soutien de Londres pour atteindre cet objectif.