Tunis (Tunisie), 5 oct 2017 (AFP)
“L’enquête est en cours, nous n’avons pas vraiment de liens aujourd’hui ou de preuve qui prouve l’attachement, quand cette personne était en Tunisie, avec des groupes terroristes ou Daech” (acronyme arabe de l’organisation Etat islamique), a-t-il déclaré à la presse à l’issue d’une rencontre avec son homologue français Edouard Philippe.