Banjul (Gambie), 6 juil 2017 (AFP)
Un groupe de cinq élèves gambiens invités à un concours de robotique aux Etats-Unis, qui s’était vu refuser mardi les visas d’entrée sur le sol américain, les a finalement obtenus, mais pas leur instructeur, a-t-on appris jeudi auprès des intéressés.
« L’agent consulaire de l’ambassade américaine à Banjul a délivré aujourd’hui (jeudi) un visa à chacun des membres de l’équipe de robotique », a déclaré Kaddijatou Gassama, 17 ans.
Le groupe s’était vu refuser les visas par l’ambassade américaine dans ce petit pays d’Afrique de l’Ouest, alors qu’il doit assister au FIRST Global Challenge à Washington, un concours de robotique où 160 pays seront représentés.
Depuis l’arrivée au pouvoir du président Donald Trump, les Etats-Unis appliquent une politique d’accès à leur territoire plus restrictive.
Un décret anti-immigration pris par le président américain interdisant l’entrée aux ressortissant de six pays, tous majoritairement musulmans (Syrie, Soudan, Iran, Somalie, Libye et Yémen) a été validé la semaine dernière par la Cour suprême.
Le groupe de jeunes Gambiens s’est cependant dit déçu que le coordinateur de l’équipe, Mohtarr Darboe, ne puisse les accompagner après un second refus de visa.
« Nous sommes la seule équipe à se rendre à l’événement sans instructeur », a affirmé Kaddijatou Gassama.
« Il nous encourage à y aller et à briller dans la compétition. Il a dit qu’il communiquerait avec nous par Skype », a indiqué Fatoumata Ceesay, âgée elle aussi de 17 ans.
La compétition, du 16 au 18 juillet, est destinée à promouvoir l’ingénierie et la technologie dans les écoles du monde entier.
La semaine dernière, le magazine américain Forbes a rapporté que six jeunes Afghanes de Herat (ouest), qui devaient participer à cette compétition, se sont vu refuser un visa d’une semaine, malgré deux tentatives.
En mars, tous les Africains invités à l’African Global Economic and Development Summit, une conférence commerciale en Californie (ouest des Etats-Unis), s’étaient vu refuser le visa, selon les organisateurs.
« L’agent consulaire de l’ambassade américaine à Banjul a délivré aujourd’hui (jeudi) un visa à chacun des membres de l’équipe de robotique », a déclaré Kaddijatou Gassama, 17 ans.
Le groupe s’était vu refuser les visas par l’ambassade américaine dans ce petit pays d’Afrique de l’Ouest, alors qu’il doit assister au FIRST Global Challenge à Washington, un concours de robotique où 160 pays seront représentés.
Depuis l’arrivée au pouvoir du président Donald Trump, les Etats-Unis appliquent une politique d’accès à leur territoire plus restrictive.
Un décret anti-immigration pris par le président américain interdisant l’entrée aux ressortissant de six pays, tous majoritairement musulmans (Syrie, Soudan, Iran, Somalie, Libye et Yémen) a été validé la semaine dernière par la Cour suprême.
Le groupe de jeunes Gambiens s’est cependant dit déçu que le coordinateur de l’équipe, Mohtarr Darboe, ne puisse les accompagner après un second refus de visa.
« Nous sommes la seule équipe à se rendre à l’événement sans instructeur », a affirmé Kaddijatou Gassama.
« Il nous encourage à y aller et à briller dans la compétition. Il a dit qu’il communiquerait avec nous par Skype », a indiqué Fatoumata Ceesay, âgée elle aussi de 17 ans.
La compétition, du 16 au 18 juillet, est destinée à promouvoir l’ingénierie et la technologie dans les écoles du monde entier.
La semaine dernière, le magazine américain Forbes a rapporté que six jeunes Afghanes de Herat (ouest), qui devaient participer à cette compétition, se sont vu refuser un visa d’une semaine, malgré deux tentatives.
En mars, tous les Africains invités à l’African Global Economic and Development Summit, une conférence commerciale en Californie (ouest des Etats-Unis), s’étaient vu refuser le visa, selon les organisateurs.