Abidjan, 22 juil 2017 (AFP)
La gendarmerie de la localité ivoirienne d’Azaguié, située à une quarantaine de km au nord d’Abidjan, a été attaquée par des hommes armés dans la nuit de vendredi à samedi, a appris l’AFP de sources concordantes au sein de la gendarmerie, qui a évoqué un acte de banditisme.
Selon un premier bilan, cette attaque dans la localité d’Azaguié, située dans le sud du pays, n’a pas fait de victime.
Elle survient deux jours après l’attaque de l’école de police du quartier Cocody de la capitale économique ivoirienne Abidjan, sans que l’on puisse établir dans l’immédiat s’il y a un lien entre les deux affaires.
“On attend d’en savoir plus. C’est une zone escarpée avec des vallons, des campements” disséminés autour de la gendarmerie, a souligné l’une des sources interrogées par l’AFP. Cette zone a été le théâtre d’affrontements ethniques dans le passé.
Cette attaque est intervenue alors que le gouvernement ivoirien a mobilisé plus de 10.000 hommes pour assurer la sécurité des 8ème jeux de la Francophonie, qui se sont ouverts vendredi soir à Abidjan sans incident sécuritaire.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, des hommes armés et cagoulés avaient attaqué l’école de police de Cocody, s’emparant des armes et du matériel militaire dans l’armurerie et braquant des véhicules avant de prendre la fuite. Une partie de cet armement avait été retrouvé après un accrochage dans le quartier populaire de Yopougon avec les assaillants qui a coûté la vie à un membre des forces de l’ordre.
Le ministre ivoirien de la Défense, Hamed Bakayoko, avait confié à la presse jeudi que les forces de sécurité étaient sur une “piste” sans vouloir fournir plus de précisions.
Principale économie de l’Afrique de l’Ouest après le Nigeria, la Côte d’Ivoire accueille, avec ces jeux de la Francophonie, son premier grand événement international après une décennie de troubles politico-militaires (2002-2011), et entend faire de cet évènement, programmé jusqu’au 30 juillet, une vitrine de son attractivité retrouvée.
Selon un premier bilan, cette attaque dans la localité d’Azaguié, située dans le sud du pays, n’a pas fait de victime.
Elle survient deux jours après l’attaque de l’école de police du quartier Cocody de la capitale économique ivoirienne Abidjan, sans que l’on puisse établir dans l’immédiat s’il y a un lien entre les deux affaires.
“On attend d’en savoir plus. C’est une zone escarpée avec des vallons, des campements” disséminés autour de la gendarmerie, a souligné l’une des sources interrogées par l’AFP. Cette zone a été le théâtre d’affrontements ethniques dans le passé.
Cette attaque est intervenue alors que le gouvernement ivoirien a mobilisé plus de 10.000 hommes pour assurer la sécurité des 8ème jeux de la Francophonie, qui se sont ouverts vendredi soir à Abidjan sans incident sécuritaire.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, des hommes armés et cagoulés avaient attaqué l’école de police de Cocody, s’emparant des armes et du matériel militaire dans l’armurerie et braquant des véhicules avant de prendre la fuite. Une partie de cet armement avait été retrouvé après un accrochage dans le quartier populaire de Yopougon avec les assaillants qui a coûté la vie à un membre des forces de l’ordre.
Le ministre ivoirien de la Défense, Hamed Bakayoko, avait confié à la presse jeudi que les forces de sécurité étaient sur une “piste” sans vouloir fournir plus de précisions.
Principale économie de l’Afrique de l’Ouest après le Nigeria, la Côte d’Ivoire accueille, avec ces jeux de la Francophonie, son premier grand événement international après une décennie de troubles politico-militaires (2002-2011), et entend faire de cet évènement, programmé jusqu’au 30 juillet, une vitrine de son attractivité retrouvée.