Berlin (AFP)
L’émissaire de l’ONU pour la Libye, Ghassan Salamé espère le retour de la mission de l’ONU (Manul) dans le pays en octobre, après l’avoir quitté en 2014 en raison des violences.
« Il est de notre devoir d’être dès que possible près des gens afin de les soutenir et de les aider. C’est pourquoi nous voulons de nouveau augmenter notre présence, évidemment en gardant à l’œil la situation sécuritaire », a déclaré M. Salamé dans l’édition de vendredi du journal allemand Die Welt.
« J’espère (…) que nous pourrons à partir de début octobre accomplir de nouveau une part essentielle de nos activités en Libye », a-t-il ajouté.
Mais d’abord, un mission d' »un peu moins de 250″ soldats de l’ONU doit être déployée pour assurer la sécurité du personnel de la Manul.
A l’image de la plupart des missions diplomatiques, la Manul avait quitté la Libye en 2014 face à la recrudescence des violences. Elle est basée depuis à Tunis, mais ses membres effectuent régulièrement des missions en Libye.
M. Salamé s’est dit aussi préoccupé par la situation dans les camps de migrants : « je pense que ces camps pourraient être beaucoup plus humains », a-t-il indiqué, estimant que « la vie quotidienne » devait y « changer radicalement ».
Le pays a sombré dans le chaos après la chute de Mouammar Kadhafhi en 2011, des autorités rivales et de nombreuses milices se disputant le pouvoir. La Libye est aussi devenu un pôle d’où opèrent les passeurs de migrants souhaitant gagner l’Europe.
« Il est de notre devoir d’être dès que possible près des gens afin de les soutenir et de les aider. C’est pourquoi nous voulons de nouveau augmenter notre présence, évidemment en gardant à l’œil la situation sécuritaire », a déclaré M. Salamé dans l’édition de vendredi du journal allemand Die Welt.
« J’espère (…) que nous pourrons à partir de début octobre accomplir de nouveau une part essentielle de nos activités en Libye », a-t-il ajouté.
Mais d’abord, un mission d' »un peu moins de 250″ soldats de l’ONU doit être déployée pour assurer la sécurité du personnel de la Manul.
A l’image de la plupart des missions diplomatiques, la Manul avait quitté la Libye en 2014 face à la recrudescence des violences. Elle est basée depuis à Tunis, mais ses membres effectuent régulièrement des missions en Libye.
M. Salamé s’est dit aussi préoccupé par la situation dans les camps de migrants : « je pense que ces camps pourraient être beaucoup plus humains », a-t-il indiqué, estimant que « la vie quotidienne » devait y « changer radicalement ».
Le pays a sombré dans le chaos après la chute de Mouammar Kadhafhi en 2011, des autorités rivales et de nombreuses milices se disputant le pouvoir. La Libye est aussi devenu un pôle d’où opèrent les passeurs de migrants souhaitant gagner l’Europe.