Tunis, 3 août 2017 (AFP)
La Grande-Bretagne a salué jeudi le “travail acharné” de la Tunisie en matière de sécurité, qui a permis d’assouplir récemment les recommandations aux touristes britanniques souhaitant se rendre dans ce pays.
Les conseils aux voyageurs ont été modifiés “grâce au travail patient et acharné du gouvernement et des services de sécurité tunisiens pour répondre aux besoins de ceux qui se rendent dans ce pays, pour tourisme ou pour toute autre raison”, a déclaré lors d’une visite à Tunis le secrétaire d’État britannique au Moyen-Orient et à l’Afrique du Nord, Alistair Burt.
“Beaucoup d’efforts ont été faits en termes de sécurité aérienne et maritime et de réaction aux attaques terroristes”, a ajouté M. Burt au cours d’une conférence de presse.
En 2015, trois attentats majeurs revendiqués par le groupe extrémiste Etat islamique (EI) ont frappé la Tunisie. Le gouvernement britannique avait recommandé à ses ressortissants de quitter le pays après l’attaque de Port El Kantaoui, le 26 juin 2015, qui avait coûté la vie à 38 touristes dont 30 Britanniques.
Fin juillet, Londres a assoupli ses recommandations aux touristes voyageant en Tunisie, mettant fin à sa consigne d’annuler tout voyage non essentiel à Tunis et dans les principaux sites touristiques.
Le Foreign Office continue toutefois de déconseiller les voyages dans certaines régions du pays, particulièrement à proximité des frontières avec la Libye et l’Algérie.
“Nous sommes confiants dans le fait que la Tunisie continuera de travailler avec le Royaume-Uni et d’autres pour assurer que nos citoyens ne soient pas juste en sécurité, mais aussi libres de voyager là où ils veulent, pour que le terrorisme ne l’emporte pas”, a encore dit M. Burt.
“Nous savons qu’aujourd’hui il n’existe pas de situation où le risque soit totalement absent, mais nous sommes très heureux de dire à nos citoyens que retourner à Tunis, retourner dans les stations balnéaires est quelque chose que nous aimerions qu’ils fassent”, a-t-il ajouté.
Le gouvernement tunisien a à plusieurs reprises dit espérer voir levées les restrictions faites aux Britanniques pour relancer le tourisme, secteur clé de l’économie nationale durement affecté par les attentats.
Les conseils aux voyageurs ont été modifiés “grâce au travail patient et acharné du gouvernement et des services de sécurité tunisiens pour répondre aux besoins de ceux qui se rendent dans ce pays, pour tourisme ou pour toute autre raison”, a déclaré lors d’une visite à Tunis le secrétaire d’État britannique au Moyen-Orient et à l’Afrique du Nord, Alistair Burt.
“Beaucoup d’efforts ont été faits en termes de sécurité aérienne et maritime et de réaction aux attaques terroristes”, a ajouté M. Burt au cours d’une conférence de presse.
En 2015, trois attentats majeurs revendiqués par le groupe extrémiste Etat islamique (EI) ont frappé la Tunisie. Le gouvernement britannique avait recommandé à ses ressortissants de quitter le pays après l’attaque de Port El Kantaoui, le 26 juin 2015, qui avait coûté la vie à 38 touristes dont 30 Britanniques.
Fin juillet, Londres a assoupli ses recommandations aux touristes voyageant en Tunisie, mettant fin à sa consigne d’annuler tout voyage non essentiel à Tunis et dans les principaux sites touristiques.
Le Foreign Office continue toutefois de déconseiller les voyages dans certaines régions du pays, particulièrement à proximité des frontières avec la Libye et l’Algérie.
“Nous sommes confiants dans le fait que la Tunisie continuera de travailler avec le Royaume-Uni et d’autres pour assurer que nos citoyens ne soient pas juste en sécurité, mais aussi libres de voyager là où ils veulent, pour que le terrorisme ne l’emporte pas”, a encore dit M. Burt.
“Nous savons qu’aujourd’hui il n’existe pas de situation où le risque soit totalement absent, mais nous sommes très heureux de dire à nos citoyens que retourner à Tunis, retourner dans les stations balnéaires est quelque chose que nous aimerions qu’ils fassent”, a-t-il ajouté.
Le gouvernement tunisien a à plusieurs reprises dit espérer voir levées les restrictions faites aux Britanniques pour relancer le tourisme, secteur clé de l’économie nationale durement affecté par les attentats.