Nations unies (Etats-Unis), 5 sept 2017 (AFP)
“Il s’agit d’une demande explicite du gouvernement malien” et “de donner un nouvel élan à l’accord de paix” qui est “sérieusement menacé”, a déclaré l’ambassadeur français à l’ONU, François Delattre. A ce stade, aucun individu ni entité n’est identifié pour être visé par des sanctions sur des voyages ou des gels d’avoirs.