Nations unies (Etats-Unis), 10 oct 2017 (AFP)
Le Conseil de sécurité de l’ONU “exhorte fermement tous les Libyens à travailler ensemble dans un esprit de compromis et de s’engager de manière constructive dans un processus politique inclusif”, dans une déclaration adoptée mardi.
A ce titre, les 15 membres du Conseil apportent leur plein soutien au plan d’action de l’envoyé spécial de l’ONU, Ghassan Salamé, qui espére l’organisation d’élections législatives et présidentielle “avant ou en juillet (2018)”.
Selon son plan d’action, une nouvelle Constitution doit être soumise à référendum et ouvrir la voie à des élections. En septembre, l’envoyé spécial avait également annoncé, sans donner de date, l’organisation à l’ONU d’une conférence nationale pour réintégrer tous les acteurs “ostracisés ou marginalisés” sur l’échiquier libyen.
La Libye est déchirée entre pouvoirs politiques rivaux depuis la chute de la dictature de Mouammar Kadhafi en 2011. Un accord interlibyen a été signé fin 2015 au Maroc, sous l’égide de l’ONU, et un gouvernement d’union (GNA), avec Fayez al-Sarraj comme Premier ministre, a été formé.
Ce dernier peine cependant à imposer son autorité sur de larges pans du pays, où il est notamment confronté à une autorité rivale au pouvoir dans l’est soutenue par le controversé maréchal Khalifa Haftar.
Le Conseil de sécurité reste “préoccupé par la détérioration de la sécurité et de la situation économique et humanitaire en Libye”, ajoute sa déclaration. Il attend la concrétisation de l’engagement des Nations unies à pouvoir “intensifier le travail de l’ONU sur le terrain afin d’améliorer les conditions de vie pour tous ceux qui vivent en Libye, incluant les migrants”.
Les 15 membres du Conseil de sécurité rappellent que face “à la menace terroriste et au trafic d’êtres humains et de biens illicites”, la Libye a besoin “de renforcer ses forces de sécurité sous la direction d’un gouvernement civil et unifié”. Ils se félicitent également de la lutte menée par la Libye contre notamment les groupes Etat islamique et Al-Qaïda, indique la déclaration adoptée sous présidence française du Conseil de sécurité.
A ce titre, les 15 membres du Conseil apportent leur plein soutien au plan d’action de l’envoyé spécial de l’ONU, Ghassan Salamé, qui espére l’organisation d’élections législatives et présidentielle “avant ou en juillet (2018)”.
Selon son plan d’action, une nouvelle Constitution doit être soumise à référendum et ouvrir la voie à des élections. En septembre, l’envoyé spécial avait également annoncé, sans donner de date, l’organisation à l’ONU d’une conférence nationale pour réintégrer tous les acteurs “ostracisés ou marginalisés” sur l’échiquier libyen.
La Libye est déchirée entre pouvoirs politiques rivaux depuis la chute de la dictature de Mouammar Kadhafi en 2011. Un accord interlibyen a été signé fin 2015 au Maroc, sous l’égide de l’ONU, et un gouvernement d’union (GNA), avec Fayez al-Sarraj comme Premier ministre, a été formé.
Ce dernier peine cependant à imposer son autorité sur de larges pans du pays, où il est notamment confronté à une autorité rivale au pouvoir dans l’est soutenue par le controversé maréchal Khalifa Haftar.
Le Conseil de sécurité reste “préoccupé par la détérioration de la sécurité et de la situation économique et humanitaire en Libye”, ajoute sa déclaration. Il attend la concrétisation de l’engagement des Nations unies à pouvoir “intensifier le travail de l’ONU sur le terrain afin d’améliorer les conditions de vie pour tous ceux qui vivent en Libye, incluant les migrants”.
Les 15 membres du Conseil de sécurité rappellent que face “à la menace terroriste et au trafic d’êtres humains et de biens illicites”, la Libye a besoin “de renforcer ses forces de sécurité sous la direction d’un gouvernement civil et unifié”. Ils se félicitent également de la lutte menée par la Libye contre notamment les groupes Etat islamique et Al-Qaïda, indique la déclaration adoptée sous présidence française du Conseil de sécurité.