Nations unies (Etats-Unis) (AFP)
Seize membres de l’ONU ont été libérés mardi après avoir été pris en otage dans la journée par d’ex-rebelles sud-soudanais dans un camp de réfugiés de la République démocratique du Congo, a affirmé un responsable onusien sous couvert d’anonymat.
La prise d’otage de ces membres de la mission des Nations unies en RDC (Monusco) s’est déroulée dans le camp pour anciens combattants de Munigi, dans l’est du pays.
« Nous somme ravis de confirmer que l’ensemble des 16 membres de la Monusco, qui ont été retenus plus tôt (…), ont été libérés », a expliqué le responsable, sans toutefois donner les nationalités des personnes qui ont été détenues.
« Le camp est calme et sous contrôle total de la Monusco. Tous ses membres sont rentrés chez eux en sécurité », a-t-il ajouté.
Une enquête a été ouverte sur cet incident qui n’a pas fait de victime, a-t-on appris de même source.
Quelque 530 anciens rebelles du Soudan du Sud, qui ont fui les combats dans la capitale de leur pays, Juba, vivent dans ce camp.
Ces anciens combattants, désarmés à leur arrivée sur place, demandent depuis des mois à être déplacés mais l’ONU ne parvient pas à leur trouver de pays d’accueil.
Après avoir accédé à l’indépendance en 2011, le Soudan du Sud a plongé depuis décembre 2013 dans une guerre civile, qui a fait plusieurs dizaines de milliers de morts et environ 3,5 millions de déplacés.
La prise d’otage de ces membres de la mission des Nations unies en RDC (Monusco) s’est déroulée dans le camp pour anciens combattants de Munigi, dans l’est du pays.
« Nous somme ravis de confirmer que l’ensemble des 16 membres de la Monusco, qui ont été retenus plus tôt (…), ont été libérés », a expliqué le responsable, sans toutefois donner les nationalités des personnes qui ont été détenues.
« Le camp est calme et sous contrôle total de la Monusco. Tous ses membres sont rentrés chez eux en sécurité », a-t-il ajouté.
Une enquête a été ouverte sur cet incident qui n’a pas fait de victime, a-t-on appris de même source.
Quelque 530 anciens rebelles du Soudan du Sud, qui ont fui les combats dans la capitale de leur pays, Juba, vivent dans ce camp.
Ces anciens combattants, désarmés à leur arrivée sur place, demandent depuis des mois à être déplacés mais l’ONU ne parvient pas à leur trouver de pays d’accueil.
Après avoir accédé à l’indépendance en 2011, le Soudan du Sud a plongé depuis décembre 2013 dans une guerre civile, qui a fait plusieurs dizaines de milliers de morts et environ 3,5 millions de déplacés.