Ryad, 21 mai 2017 (AFP)
Le président américain Donald Trump a annoncé dimanche son intention de se rendre bientôt en Egypte, à l’occasion d’une rencontre avec son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi à Ryad.
“Nous allons clairement mettre cela (la visite en Egypte) sur notre liste très bientôt”, a déclaré M. Trump, répondant à une invitation de l’homme fort égyptien qu’il avait reçu il y a six semaines à la Maison Blanche.
“L’Egypte est un pays stable et sûr et la coopération avec les Etats-Unis se passe très bien”, a dit le président égyptien dont les propos étaient traduits par un interprète.
“Vous êtes une personnalité unique capable de faire l’impossible”, a-t-il ajouté à l’adresse de M. Trump, déclenchant les rires des délégations présentes.
“Tout à fait d’accord!” a répondu, ravi, le président américain.
“J’adore vos chaussures. Wouah, ces chaussures…”, a ajouté le magnat de l’immobilier, amusé, à l’intention de M. Sissi.
Le président américain a par ailleurs remercié son homologue égyptien pour son aide dans la libération de la militante égypto-américaine Aya Hijazi, fondatrice d’une ONG pour les enfants des rues, acquittée par un tribunal du Caire après trois ans de détention.
Comme ce fut le cas lors de le rencontre dans le Bureau ovale en avril, M. Trump n’a à aucun moment évoqué devant les journalistes la question des droits de l’homme en Egypte.
M. Sissi est régulièrement accusé par les ONG de défense des droits de l’Homme et l’ONU d’avoir instauré un régime ultra-répressif qui ne tolère aucune voix dissidente depuis qu’il a destitué en 2013 son prédécesseur, l’islamiste Mohamed Morsi.
Après deux jours de séjour à Ryad, le 45e président des Etats-Unis se rendra lundi matin en Israël, deuxième étape d’un voyage extrêmement dense qui le mènera aussi dans les Territoires palestiniens, au Vatican, à Bruxelles et en Sicile pour les sommets de l’Otan et du G7.
“Nous allons clairement mettre cela (la visite en Egypte) sur notre liste très bientôt”, a déclaré M. Trump, répondant à une invitation de l’homme fort égyptien qu’il avait reçu il y a six semaines à la Maison Blanche.
“L’Egypte est un pays stable et sûr et la coopération avec les Etats-Unis se passe très bien”, a dit le président égyptien dont les propos étaient traduits par un interprète.
“Vous êtes une personnalité unique capable de faire l’impossible”, a-t-il ajouté à l’adresse de M. Trump, déclenchant les rires des délégations présentes.
“Tout à fait d’accord!” a répondu, ravi, le président américain.
“J’adore vos chaussures. Wouah, ces chaussures…”, a ajouté le magnat de l’immobilier, amusé, à l’intention de M. Sissi.
Le président américain a par ailleurs remercié son homologue égyptien pour son aide dans la libération de la militante égypto-américaine Aya Hijazi, fondatrice d’une ONG pour les enfants des rues, acquittée par un tribunal du Caire après trois ans de détention.
Comme ce fut le cas lors de le rencontre dans le Bureau ovale en avril, M. Trump n’a à aucun moment évoqué devant les journalistes la question des droits de l’homme en Egypte.
M. Sissi est régulièrement accusé par les ONG de défense des droits de l’Homme et l’ONU d’avoir instauré un régime ultra-répressif qui ne tolère aucune voix dissidente depuis qu’il a destitué en 2013 son prédécesseur, l’islamiste Mohamed Morsi.
Après deux jours de séjour à Ryad, le 45e président des Etats-Unis se rendra lundi matin en Israël, deuxième étape d’un voyage extrêmement dense qui le mènera aussi dans les Territoires palestiniens, au Vatican, à Bruxelles et en Sicile pour les sommets de l’Otan et du G7.